3 Trucs pour ne pas Être le Fatigant du Bureau
Ça fait longtemps que tes collègues ont arrêté de manger avec toi le midi. Durant les 5 à 7, le monde a étrangement le besoin de s’en aller lorsque tu arrives. Tu entends même tes boss s’obstiner pour déterminer lequel des deux va aller te parler! Je suis désolé de te l’annoncer mais… Tu es en train de devenir le fatigant du bureau! Heureusement pour toi, je suis un ancien fatigant de bureau et j’ai fait cet article pour te montrer comment t’en sortir!
Ne pas être un « gratteux de gales »
Mais qu’est-ce qu’un « gratteux de gales »? C’est simple, c’est quelqu’un qui voit un problème et qui le mentionne bien haut sans apporter de solution ni de réflexion constructive. Comme un enfant qui ne cesse de gratter une gale sur son bobo même si sa mère lui a dit de ne pas y toucher. Pour t’aider à les identifier, voici les phrases typiques de ce genre de fatigant :
« Ben la! On fait quoi? »
« Moi ça ne me dérange pas! Ce n’est pas ma tête qui va rouler! »
« Il est minuit moins une! » …
Comme tu peux l’observer, il ne fait qu’observer un problème qui est sûrement en train d’être traité. Beaucoup d’individus réagissent de cette façon lorsque le niveau de stress commence à monter et qu’ils se sentent menacés.
Pour ne pas devenir comme eux, voici la formule à adopter pour commenter une situation problématique :
« Je vois qu’il y a le problème X. Je vois deux options : (option 1) (option 2). Ma recommandation est l’option X. »
En opérant de cette façon, tu montres à la personne que tu es là pour l’aider et que tu fais peut-être partie de la solution.
La vie de bureau c’est comme gossip girl
Le titre ne veut pas dire que tu dois créer un blog anonyme basé sur le « gossip » du bureau. Certaines personnes sont juste faites pour t’énerver. Parfois, elles t’énervent par leur manque de compétence ou parce qu’elles en ont trop (le pire scénario). Ça peut aussi être parce que sa face te rappelle un ami du primaire qui t’a volé une barre tendre (et tu ne lui as toujours pas pardonné parce que les barres tendres au primaire c’est sacrées).
Si vous êtes pris dans cette situation, le mot d’ordre est de se limiter au contact professionnel (autant que possible) et de rester calme. Des fois, aller dans les toilettes pour écouter la trame sonore de « Planeth earth II » ça vaut le coup! Ou bien tu peux attendre d’être avec tes proches chez toi pour en parler.
Ce qu’il ne faut pas faire, c’est de parler en mal dans le dos de cette personne. Si vous adoptez cette voie, deux conclusions sont possibles :
Tu trouves quelqu’un qui partage ton mépris pour la personne en question et vous minez l’ambiance au bureau avec votre énergie négative.
On apprend que tu n’aimes pas la personne pour une histoire de barre tendre et tu te fais identifier comme un visage à deux faces.
Dans les deux cas, la cohésion qui existait dans ton milieu de travail sera affectée. Si tu encourages ces pratiques, qu’est-ce qui prouve que tu ne vis pas la même chose? La clé c’est de ne pas participer au « gossip » et même si c’est parfois tentant.
Ne te laisse jamais surprendre
À combien de reprises as-tu été pris dans une séance de patinage artistique pour te sortir d’une situation où tu as parlé trop vite? Il faut toujours faire attention lorsqu’on se positionne par rapport à des enjeux (même si c’est pour Occupation Double). Dans la prochaine partie de l’article, on va voir comment bâtir de bonnes relations de travail.
Pour ne pas te placer dans cette situation fâcheuse, il existe plusieurs trucs. Toutefois, le plus efficace, est celui-ci : Renseignes-toi! Je sais ce que tu te dis en ce moment :
« Ben là! je n’ai pas envie d’espionner sur Facebook chaque personne que je rencontre! » Heureusement pour toi, une technique assez simple existe et te permettra d’économiser de nombreuses heures sur Facebook.
Voici mes conseils :
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Adopte un ton curieux
Premièrement, lorsque tu rencontres quelqu’un pose des questions et écoute attentivement les réponses. Si tu en profites pour ne parler que de toi, la personne risque de s’épuiser rapidement.
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Évite les questions fermées
Elles donneront un ton d’interrogatoire à ta discussion et tu ne veux pas ça! Vas-y avec des questions ouvertes du genre : Quels sont tes passe-temps? Qu’est-ce que tu aimes à ton travail? Qu’est-ce que tu fais dans la vie? Rappelle-toi des premiers éléments de réponse, ils sont souvent des composantes de la vie que la personne valorise.
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Donne de la rétroaction
Ensuite, qu’est-ce qui est plus plate que de parler à quelqu’un qui ne réagit pas à ce que tu dis? Hoche la tête, souris et n’interromps pas la personne qui parle.
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Suit le langage non-verbale de la personne
Lorsque tu parles avec quelqu’un son langage corporel changera en fonction de ce qu’il te parle. Si tu recrées sommairement celui-ci, la personne sentira inconsciemment une connexion.
TRUC BONUS !!!
Ben oui! C’est ça La Philanthrope, on t’en donne toujours plus pour ton argent. Donc voici mon truc bonus :
Fais affaire avec un expert de la programmation neurolinguistique (PNL)
Si tu as essayé tous ces conseils et que rien n’a fonctionné, il est temps d’employer les grands moyens. En faisant affaire avec un expert de la programmation neurolinguistique tu ne te trompes pas! Voici les services offerts :
Coaching de communications efficaces
Règlement de comportements nuisibles
Gestion du stress, anxiété, peur, dépendance
Transformer un état relationnel inconfortable en levier
Optimisation de son potentiel
Atelier de groupe et suivi individuel
L’expert saura cibler l’objectif à atteindre rapidement et créer un plan efficace qui viendra d’outiller à le faire. En général, le processus est très rapide. Une moyenne de 3 consultations suffisent généralement à régler la situation ! Et si tu veux que tout cela se passe à la vitesse GRAND V, contacte Véronique Buisson, coaching de communication PNL !
Tout à fait vrai!!
Très bien dit!